Chaque année en France, 150 000 personnes sont victimes d’un accident vasculaire cérébral. Parmi elles, 40 000 ne survivent pas…
Guillaume Amasson, marié, père de famille, salarié d’une compagnie aérienne, est un homme hypersensible qui souffre de troubles anxieux et se bat depuis de nombreuses années contre une dépression fluctuante, un trouble unipolaire. Fin juin 2016, alors âgé de 38 ans, il a une intuition ; il pressent que « quelque chose dysfonctionne » en lui. Alors il insiste auprès de son médecin pour passer une IRM du cerveau. Pour le moins sceptique, ce dernier va toutefois lui prescrire l’examen. Le diagnostic est terrifiant : fistule artérioveineuse durale de l’étage antérieur de type IV. En clair : malformation des veines et des artères du cerveau ; le sang passe « par des sens interdits ». C’est très grave. La fistule peut se rompre à tout moment… et engendrer une hémorragie cérébrale pouvant entraîner la mort. L’opération – non dénuée de risques – est dès lors sa seule option…
Guillaume Amasson revient, avec beaucoup de sincérité et de courage, sur ce chapitre clé de sa vie pour nous inciter à être plus vigilants avec notre santé et davantage à l’écoute de notre corps afin que l’AVC ne soit plus la troisième cause de mortalité en France, la première cause de handicap acquis chez l’adulte et la deuxième cause de démence. Un témoignage choc et d’utilité publique.
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