Du chant de l’oiseau dans le ciel bleu de mai à l’intimité de la chambre dans laquelle on ne distingue que l’ombre de deux corps emmêlés, le souffle de la poésie se faufile. C’est ce sentiment joyeux et triste à la fois, cette légèreté teintée de mélancolie. C’est la voix dans le silence qui secoue la poussière et fait rentrer la lumière.
La poésie de Marielle Jacquier, illustrée par François Grand, tient autant de l’émotion que de l’impression sensorielle. Elle glisse sur la peau, nous entoure. Elle nous pique, elle nous démange, elle nous caresse. En trois mots : elle nous touche.
Plan du site - Infos légales - Nous contacter - Charte - Conditions de vente - Politique de confidentialité - Gestion des cookies