Qu’il rende hommage à de vieux amis, s’amuse à des textes cocasses, loue la beauté des rives de la Charente ou chante celle des courbes des femmes, Georges Ferrières témoigne toujours du même respect de la métrique, d’un goût certain de la rime bien faite. Venu à la chanson poétique grâce à Georges Brassens – qu’il a bien connu par la suite dans les années 1970 –, il dévoile dans ce recueil ses propres poèmes et compositions, ouvrant grand son sac pour faire partager au lecteur son indéfectible attachement à la langue française. En cette époque quelque peu troublée, cela peut ne pas être inutile…
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