Le corbeau chante. Il chante pour prévenir ses pairs de la présence d’amis. Il chante, aussi, pour les alerter d’un danger imminent. Alors, tel le corbeau, Marc Arthur Anvo a décidé de chanter, à son tour. Chanter pour rendre hommage à l’Afrique, la terre de ses ancêtres. La terre bénie. La terre qui lui a donné la force et le courage. Le seul et vrai paradis.
Mais chanter, aussi, pour alerter des dangers et dérives. Car l’Afrique, c’est également des gouvernants qui peuvent se montrer cruels, une démocratie fantôme, les stigmates de l’esclavage…
Marc Arthur Anvo joue de sa plume mélodieuse pour mettre en mots les sentiments que lui inspire l’Afrique et adresser une lettre ouverte à sa chère et tendre terre, ainsi qu’à tous ceux qui l’habitent. Un texte sincère et poignant.
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