Le 13 septembre 1958, Ruben Um Nyobe est assassiné par l’armée française. Il est le premier à revendiquer l’indépendance du Cameroun, pays sauvagement divisé entre deux colonies. Ce long poème lui est dédié. Au-delà du Mporol, il vient rappeler le sang que les Africains ont versé – et continuent de verser – pour la souveraineté de l’Afrique. Plus qu’un message, c’est un cri de souffrance, un hurlement de révolte contre ceux qui ont tenté d’étouffer la volonté nationale de se libérer du joug européen. Après la barbarie, le devoir de mémoire est capital pour que la lutte continue…
D’une plume impétueuse, Bilong bi Kunde transmet sa colère et sa soif de contestation sur un sujet méconnu du grand public.
Plan du site - Infos légales - Nous contacter - Charte - Conditions de vente - Politique de confidentialité - Gestion des cookies