Dans ce dernier volet d’un triptyque qui peut s’ouvrir et se lire à son gré, Anne Rataud parachève sa peinture de la vie, de ces petites choses éphémères ou tenaces qui la pigmentent, de ces souvenirs qui l’illuminent ou la tourmentent, de ces saisons qui la traversent avant la fin – inéluctable. Avec une écriture à la fois suggestive et musicale, elle esquisse des scènes d’un trait léger, rendant juste visible le champ profond de l’âme, avec ses passages noirs de douleur infusée qui résonnent en écho et dont on ressort paradoxalement réconcilié, serein… Une poésie de l’intime qui porte à l’espérance.
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