Impressions vagabondes

Durant l’absence, dans les bribes de vide laissées par l’être aimé, le cœur soliloque. Au fil d’une pensée déambulatoire à travers le paysage et les gestes du quotidien, Pierre de Sarrazin offre ses mots au silence de l’amante. Tendres hommages, souvenirs ou invitations sensuelles, les paroles surgissent et cristallisent la passion saisie dans l’instant, tressant la silhouette vive de celle qui manque, pour que s’élève le chant charnel, universel, de l’amour.