Loin des recueils à l’eau de rose, des pétales de fleurs et des oiseaux qui chantent, l’auteur nous entraîne dans les méandres d’une société en pleine déliquescence dont il se fait l’observateur désabusé. Tantôt humoristiques, sarcastiques, tendres, polémistes, intimistes ou violents, ses poèmes sont le reflet d’un versant noir de la vie, bien réel et légitime lui aussi.
Dans cette suite de La Dernière Transe, François Arnould, une nouvelle fois, ne fait pas dans la dentelle ! Que l’on aime ou non, il est difficile d’y être indifférent…
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